Quelques jours de vacances. Pas le temps d’aller très loin. Hésitations, am stram gram, consultation des destinations “moyen courrier” et des tarifs, bourre et bourre et ratatam… Finalement ce sera… Budapest. Bon d’accord, j’aurais préféré un pays plus chaud mais actuellement, les pays les plus chauds le sont… un peu trop.
Budapest, je me dis que ça doit ressembler à Prague. Qui ne m’avait pas déplu. Et puis la météo à dix jours déborde d’optimisme. Probabilité de précipitation : 0%. Alors, adjugé. Un vol direct et cinq nuits au Art’Otel. D’après Google Earth, il se trouve au bord du Danube, côté Buda, dans le quartier du château. Adossé à la vieille ville, juste en face du Parlement. Orientation ouest-est. Idéal pour la photo au coucher du soleil.
Il devait faire beau et sec. Bingo ! Il fera chaud de surcroît. Pendant cinq jours, le thermomètre a flirté avec les trente degrés. Avec un ciel d’un beau bleu, net et limpide. Je ne saurai pas ce que Budapest donne sous la pluie. Tant pis. Le soleil lui sied bien.
Un forfait 72 heures tous transports urbains m’a permis de sillonner Pest et Buda dans tous les sens. D’églises en musées, de places en places, de la plus humble venelle aux plus grandes artères, des bains Széchenyi aux bains Gellert, j’ai, à force de déambulations, réduit la ville aux dimensions d’un village.
De gauche à droite : le Parlement – Eglise calviniste – l’église Ste Anne (au centre) – la Grande Synagogue – Coupoles d’Elephant House.
Dans le jardin japonais sur l’île Marguerite.
A gauche, les terrasses du musée des Beaux-Arts. A droite, dans les rues de Pest.
La petite Princesse de Läszlo Morton, sur la rambarde du tramway.
(Cliquez sur les photos pour les agrandir).
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