Do It Yourself.
Changement d’activité. J’ai troqué les aiguilles à tricoter pour les pinceaux et le rouleau. Là, je dois avouer que je suis nettement moins douée, au grand dam de mon compagnon.
Ce genre d’entreprise dure toujours plus que prévu. Du simple rafraîchissement de peinture, on passe rapidement à quelques travaux incontournables et toujours repoussés. La pagaille et la poussière règnent en maître. La cuisine, démontée, a essaimé bols, verres et casseroles un peu partout dans la maison.
Les activités du quotidien se transforment en jeu de piste.
Les sorties « Leroy-Merlin » qui, de prime abord, pourraient passer pour une récréation, une bouffée d’oxygène dans tout ce remue-ménage s’avèrent très vite relever du pensum.
Malgré une longue liste de mesures, de cotes, de références et d’idées, on sort du magasin groggy, agacé et les mains, quasiment vides.
L’humeur suit l’avancement et… les aléas des travaux.
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