Un été de lavande

Quelques images du pays de la lavande en juillet dernier, sur le plateau de Valensole, et souvenirs d’un séjour parfait, chez Gérard et Joceline, au Pigeonnier des Banons, près de Puimoisson (Alpes de Haute-Provence).

Le vieil arbre

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Le soleil vient de se coucher sur les champs de lavande

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Zygène de la filipendule

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Une rue de Puimoisson

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Clapotis dans le jardin du gîte

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Méli-mélo de photos prises dans le gîte

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Farniente à l’ombre des tilleuls

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On moissonne déjà !

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Minute Papillon !

Piéride  du choux

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Demi-deuil

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Flambé

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Mélitée du plantain

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Flambé dans la lavande

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Se mettre au vert

Le nez dans l’herbe.

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Galerie d’été

Méli-mélo de fleurs et d’insectes photographiés cet été.

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Le temps des festivals (2)

Urbaka 2015 – Festival des Arts de la rue à Limoges.

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Loin Lontano par Les Clandestines

Paroles d’exil et chants traditionnels italiens.

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Le rêve d’Erica par la Compagnie Bivouac

Ce conte merveilleux, à la manière d’Alice au pays des merveilles, marie avec bonheur les techniques du cirque, le chant et la danse.

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Moissons

« Mortel accablement des moissons à leur apogée ! De l’aurore à la nuit, les jours se gonflaient d’heures. A perte de vue, le blé, l’orge et le seigle jonchaient la terre ensoleillée. Sur les pentes et dans la plaine, aussi loin que pouvait porter le regard, les moissonneurs, minuscules marionnettes, peinaient contre les frissonnantes étendues blondes. De l’aurore à la nuit, animés par une grande fièvre, les bras et les échines s’acharnant, ils livraient à la glèbe un poussiéreux combat dans le brasier bleu de l’été. A l’empressement de chacun on eût dit qu’une menace était suspendue aux confins du ciel et de l’horizon. Mais leur effort était sans mystère et sans conscience ; et sans impatience leur hâte. Un scintillement nacré s’élevait au-dessus des épis mûrs puis, pulvérulence des sillons piétinés, retombait, impalpable, sur les torses brunis des hommes, sur les bras hâlés des femmes. Une odeur puissante et âcre d’aisselles moites et de poitrines luisantes se mêlait au fade parfum des coquelicots. Et, toujours ce sifflement crissant des faux, ce halètement cadencé des faucheurs qui s’avançaient à contre-jour comme des ombres, sous un soleil figé au fond des cieux polis et durs… (…) »

Raymond Guérin. Les poulpes (1953), Éditions le Tout sur le Tout, page 42.

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Heure bleue sur les champs.

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Derniers rayons de soleil sur les blés.

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Le dahlia dans tous ses éclats (2)

Des parasols aux allures de flambeaux encerclent les astéracées dans une danse du feu endiablée.

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Vrais et faux dahlias se côtoient sous le soleil.

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Le dahlia dans tous ses éclats (1)

Depuis le mois de mai, les jardiniers municipaux nous offrent l’été.
Coloré, hérissé ou rondouillard, le dahlia, fleur emblématique de la belle saison, a envahi un des parcs de la ville. De flamboyantes installations mettent en scène une cinquantaine de variétés et invitent le flâneur à les découvrir.
Tout au long de l’été, diverses animations sont programmées dans le cadre de cette exposition.

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Affiche de l’exposition

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