Le temps des festivals (2)

Urbaka 2015 – Festival des Arts de la rue à Limoges.

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Loin Lontano par Les Clandestines

Paroles d’exil et chants traditionnels italiens.

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Le rêve d’Erica par la Compagnie Bivouac

Ce conte merveilleux, à la manière d’Alice au pays des merveilles, marie avec bonheur les techniques du cirque, le chant et la danse.

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Urbaka (suite)

« Nez pour s’aimer » est une histoire d’amour.

La Compagnie Pêcheurs de Rêves met en scène une variation allégorique, tendre et poétique sur la naissance d’un « clownple ».

« Nez pour s’aimer » est un conte étrange qui se déroule dans un « ailleurs » onirique, imaginaire.

Dans un monde fait de bouteilles, de seaux et de plumes, Za et Krapote se rencontrent et s’explorent.

Ici, l’improvisation n’a pas sa place, tout est parfaitement calculé, maitrisé, rodé: pirouettes, escalades, danses, jongleries et art culinaire s’enchainent avec une vitesse et une concentration incroyables sur la minuscule scène ronde.

Il faisait chaud, très chaud, ce jour-là, sous le chapiteau mais la touffeur moite qui annonçait l’orage n’a pas entamé l’enthousiasme communicatif et l’énergie débordante des artistes.

Et c’est avec des yeux d’enfants que l’on a quitté le monde de Za et Krapote !

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Découverte

Dans les catalogues européens sont répertoriées plus de 3 000 espèces et variétés. En France, on en compte seulement 430.

Les espèces se divisent en catégories, définies suivant le mode de croissance, la forme et la taille du fruit.

Pour répondre aux critiques formulées à l’égard des catalogues officiels par des jardiniers amateurs, plus de cent variétés traditionnelles ont été ajoutées dans une « liste annexe des variétés anciennes ».

Pour ma part, aucune critique mais une revendication, l’ajout à cette longue liste d’une toute nouvelle espèce : la tomate-Cyrano !

J’ai oublié de dire qu’il s’agissait de tomates ?

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